Témoignages

Témoignages

Nelly Manoukian, élève à Perceval de 1974 à 1989

« J’ai eu la chance de faire toute ma scolarité, du jardin d’enfants à la 12ème classe à Perceval, de 1974 à 1989. J’ai passé mon « bac C » dans un lycée de Saint Germain et l’ai eu avec mention, puis ai enchaîné avec une maitrise d’économie à Nanterre, puis Sciences Po Paris, avec un diplôme en relations internationales. En parallèle j’ai étudié le Persan aux Langues Orientales. Ma vocation professionnelle m’est venue à Perceval en 12ème classe, après mon stage social que j’avais effectué à la Cimade, association qui s’occupe des réfugiés politiques et demandeurs d’asile. Je décidai alors de me diriger vers une carrière politique, afin de « changer le monde et les injustices » – souhait caractéristique du romantisme adolescent, exacerbé par toutes les expériences, les échanges et la richesse de la pédagogie Steiner! Même si ce n’est pas ce que j’ai fait pendant les 15 premières années de ma carrière, m’étant finalement dirigée vers la communication (j’ai travaillé 15 ans en agence de communication), je garde toujours en moi cette énergie de vouloir changer les choses pour un monde meilleur. Je suis actuellement à un virage de ma vie professionnelle, cherchant à renouer avec les valeurs qui m’ont toujours animée.
Mon passage de l’école Perceval au lycée public, puis à l’université et Sciences Po s’est fait de manière tout à fait naturelle. J’ai toujours affiché et revendiqué une certaine liberté d’esprit et un sens critique, héritée entre autres de ma scolarité à Perceval, et cela n’a été qu’à mon avantage. Un des enseignements principaux de cette pédagogie aura été pour moi de développer mon aspiration à la liberté, ainsi que la capacité à me connaître moi-même pour me sentir à l’aise dans le monde. »

Lucie Robert, scolarisée à Perceval de 1998  à 2010

« Je suis arrivée à l’école Perceval au CP (1ère classe) et j’y suis restée jusqu’à la fin de la terminale. Avec mon bac S mention très bien, j’ai pu me présenter sereinement aux concours de première année de médecine et suis actuellement en 3ème année à Paris. Ce qui est bien à Perceval, c’est que j’ai appris à être autonome, à travailler pour moi, parce que je trouve ça agréable et non pas parce qu’on me met sous pression. J’ai toujours aimé travailler, ce n’est pas vraiment une contrainte pour moi et je pense que ceci est en grande partie grâce à l’éducation qu’on reçoit à l’école Perceval : on apprend à travailler dans la joie, la bonne humeur, à notre rythme. Et cela m’aide actuellement à fournir une grosse quantité de travail personnel au quotidien sans difficulté. En médecine, il y a aussi le côté humain qu’il faut savoir gérer et cela m’est venu naturellement après une scolarité aussi riche en rencontres, en questionnements et en ouverture sur le monde. J’ai pu y vivre autre chose que le travail intellectuel (travaux manuels, théâtre, chef-d’œuvre…) et j’ai maintenant le sentiment d’être initiée à plus que seulement apprendre par cœur et réviser. La scolarité à Perceval est vraiment d’une richesse et d’une humanité formidable ! »

Clément Guillot, élève à Perceval de 1997 à 2009

« Ancien élève de l’école Perceval, j’y ai effectué ma scolarité de 1997 à 2009, année de l’obtention de mon bac scientifique avec mention.

 J’ai étudié au CNSMDP (Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris), et aujourd’hui je suis professeur au Conservatoire de Rambouillet.
J’ai pour volonté de devenir chef d’orchestre et compositeur de musique de film en plus de l’enseignement. 

La pédagogie Steiner m’a aidé à me développer  dans trois aspects fondamentaux :

Le premier fut d’éduquer la fibre artistique sur tous les plans car on permet à l’élève de s’initier aussi bien à la musique, qu’aux arts plastiques, qu’à la sculpture sur bois et au modelage, de découvrir le tricot, la couture, la création de vêtements, la ferronnerie etc… Ces initiations permettent de découvrir certaines matières qu’un jeune élève ne saurait connaître autrement. Elles peuvent créer des vocations, et cela s’est vérifié dans ma promotion.

 Le deuxième fut de respecter ces différentes vocations créées, inhabituelles dans un cursus traditionnel. Le fait de ne pas vouloir suivre une voie estudiantine et professionnelle rentrant dans les normes actuelles (médecine, ingénierie, commerce, économie…) est respecté : le but est de suivre un chemin qui nous correspond, qui nous permet de nous épanouir, et non pas un chemin que l’on voudrait nous faire correspondre. À aucun moment un professeur ne se permet une réflexion désobligeante à l’encontre d’un élève qui souhaite s’orienter dans un domaine artistique, manuel ou technique (à la différence de certains établissements dans lesquels l’étudiant qui souhaite suivre une de ces filières ne sera absolument pas considéré).

 La dernier me sert aujourd’hui dans l’enseignement, en cours particulier comme en cours collectif, que ce soit des mathématiques, de l’histoire ou de la musique: c’est sans doute à mes yeux la  chose la plus importante. La pédagogie Steiner pose la question « pourquoi? » dans son apprentissage. C’est à dire que l’enseignant ne nous donne pas une définition, un fait ou une formule que l’on doit apprendre bêtement pour réussir son contrôle, mais bien l’explication, la cause, le cheminement qui nous permettent d’arriver au résultat. Cette notion apparemment si anodine permet de comprendre, et éduque l’esprit de l’élève à la réflexion ainsi qu’à la curiosité, ce qui lui permet d’assimiler et de mieux retenir les notions. 

La pédagogie Steiner, base de l’école Perceval, ouvre donc différents horizons au jeune étudiant: elle permet une ouverture complète à l’élève désireux de choisir la voie qui sera la sienne, quelque soit le domaine, des Sciences Politiques au social, de la mécanique à la haute couture et de la médecine jusqu’aux arts. »

 

Chloé Miara, élève à Perceval de 2004 à 2011

« Je suis arrivée à l’école Perceval en 7e classe. Dès la semaine de la rentrée j’ai été convaincue que j’avais fait le bon choix en changeant d’école car je m’y suis rapidement sentie chez moi. J’ai alors continué le cursus jusqu’au bac. En arrivant à Perceval, mes atouts étaient plus liés au scolaire pur qu’aux autres matières enseignées dans la pédagogie Steiner- Waldorf, telles que la sculpture sur bois, la couture ou le théâtre. La découverte de ces matières m’a néanmoins beaucoup plu et apporté. Elles m’ont permis un développement que je n’aurais pas pu acquérir ailleurs. Je me suis d’ailleurs rendue compte, à ma sortie du lycée, que ce que je retiendrais de toutes ces années d’enseignement primaire et secondaire ne serait absolument pas d’avoir eu un diplôme, mais d’avoir pu faire tout ce que cette école apporte en plus comme les voyages, les semaines thématiques et évidemment les périodes de théâtre. Bien qu’ayant obtenu un bac scientifique, je ne souhaitais pas travailler dans le domaine des sciences. C’est après de nombreuses réflexions que j’ai choisi de m’orienter vers des études de droit dans l’objectif de devenir médiateur afin de lier droit, sociologie, psychologie et règlement des conflits. Aujourd’hui, j’ai fini ma licence de droit. Avant de me lancer dans un Master 1 plus spécialisé dans la médiation, j’ai choisi de partir 6 mois en Argentine dans le cadre de mes études afin d’améliorer mon espagnol, de découvrir une autre culture et une autre vie. Mon passage à l’école Perceval m’a permis tout d’abord de passer des années de collège et de lycée que je considère comme extraordinaires et dont j’ai pleinement profité. Mais il m’a également donné confiance en ce que je suis et m’a permis de comprendre que la volonté est l’élément essentiel de la réussite quel que soit le domaine. En effet, certaines étapes telles que le chef d’œuvre m’ont montré que j’étais capable de faire des choses qui me semblaient impossibles. Aujourd’hui, ce parcours fait partie de ma vie, il est une fierté et une base solide sur laquelle je peux m’appuyer pour avancer. « 


Houdia Ponty, élève à Perceval de 1997 à 2010

« Après avoir effectué ma scolarité entière à l’école Perceval de Chatou, je suis sortie de l’école avec un bac L mention bien en poche. Je suis aujourd’hui devenue ce que j’ai toujours voulu être: comédienne. Je commence à  m’investir de plus en plus dans des projets professionnels. J’ai eu l’occasion de travailler comme assistante à la mise en scène aux côtés de Stéphanie Tesson puis de Jean Louis Benoit, Sébastien Thiery et Bruno Solo. Je réalise en ce moment mon premier court métrage qui devrait être projeté à Paris fin 2014. Ma passion de la scène me vient de ces nombreuses années à  Perceval. C’est là que j’ai appris à exprimer mes idées et envies devant un public. Les multiples stages (agricole, forestier, échange linguistique) m’ont permis de vivre des expériences extraordinaires, très formatrices pour ce métier et dans ma vie en général. Je repense souvent à mes années d’école et je sais que les très bons souvenirs que j’en garde m’accompagneront tout au long de ma vie et de ma carrière ».


Bertille Bouclier,  Perceval entre 1994 et 2009

« Je m’appelle Bertille Bouclier, j’ai effectué toute ma scolarité à Perceval et ai obtenu mon bac ES en 2009. Mon chef d’oeuvre de 12e classe m’a donné une grande confiance en moi car j’ai organisé une journée WOW DAY à l’école, une épreuve qui a influencé mon avenir professionnel…J’ai ensuite voyagé en Amérique du Sud et travaillé pendant un an avant de m’installer à Lyon où j’ai étudié en licence de science politique. J’ai passé la dernière année d’étude en échange à Bogotá en Colombie et ce fut une très belle expérience. Puis j’ai travaillé et voyagé aux États-Unis quelques mois avant de vivre au Mexique où je travaille actuellement comme volontaire dans plusieurs ONG de Droits Humains et de défense des Migrants en transit vers les USA. Je prévois un retour en France à la fin du printemps en « bateau stop ».
Je pense que la pédagogie Steiner a contribué a m’apporter la curiosité, l’ouverture d’esprit et la grande confiance en la vie qui me permettent de réaliser ces magnifiques voyages. Mon parcours à Perceval a surtout développé ma liberté de penser, ma capacité à rebondir dans diverses situations et m’a appris que chacun d’entre nous a son propre chemin, qu’il doit tracer selon ses envies, sans être influencé par les autres. »

http://voyagedunecurieuse.wordpress.com/

 

Nominingue Baker Morin, élève de 1995 à 2008

« Après avoir effectué toute ma scolarité à l’école Perceval, j’ai obtenu en juin 2008 mon bac S avec mention.
Suite à quoi, j’ai pris une année sabbatique. Période durant laquelle j’ai beaucoup voyagé et pu choisir un établissement où étudier l’année suivante (École Nationale Supérieure d’Architecture Paris Val-de-Seine).
Après avoir obtenu ma licence en Architecture en juin 2012 (mention très bien) j’ai souhaité faire une pause dans mes études, afin de définir quelle serait l’orientation et la spécialité de mon Master. J’ai donc réalisé des stages, en France et à l’étranger, afin de m’ouvrir à des domaines proches du mien; la photographie, l’illustration, le design web. Je suis actuellement directrice commerciale dans une start-up de design web à Montréal et inscrite en Master d’Architecture à l’université pour l’année prochaine.
Ma scolarité à Perceval m’a donné beaucoup de courage et de confiance en moi, elle m’a permis d’arrêter mon cursus lorsqu’il ne me convenait plus, et d’enrichir ma formation en m’essayant dans divers domaines qui me passionnent plutôt que de suivre un chemin « tout tracé ».
Je suis également très reconnaissante à cette pédagogie qui m’a apporté une maturité, une ouverture d’esprit et une culture générale qui m’ont été très utiles et m’ont toujours menée en «tête de classe» dans mes études universitaires. »


Pauline Lainé, élève de 1993 à 2008

Elève à l’Ecole Perceval durant 15 ans (du Jardin d’enfant à la 12ème classe), j’ai eu la chance de recevoir un enseignement me poussant, avant tout, à trouver ma place au sein d’un groupe mais aussi à développer ma personnalité propre. Après avoir décroché un bac scientifique en 2008, j’ai entamé des études de droit et suis aujourd’hui sur le point de passer le concours de l’Ecole nationale de la Magistrature pour devenir juge. Si mon parcours universitaire n’a pas été linéaire – un semestre passé en pharmacie, une réorientation en droit, un deuxième cycle partagé entre Bordeaux et Versailles – je l’ai vécu avec sérénité, consciente de ma capacité d’adaptation. Cette dernière, me vient j’en suis sûre, des expériences extrêmement variées que j’ai eu la chance de vivre au cours de ma scolarité: stage agricole et de bûcheronnage, échange linguistique de 3 mois aux Etats-Unis, voyage de classe aux Pays-Bas. La réalisation d’un Chef d’œuvre en classe de 12ème et de plusieurs pièces de théâtre a également été déterminante de ma capacité à avoir confiance en moi. Les valeurs qui me viennent des années passées à Perceval sont avant tout humaines. J’y ai appris la vie en communauté, le partage, l’amitié. C’est aussi une ouverture sur le monde et ses richesses qui m’a été inculquée: j’ai à ce jour visité une vingtaine de pays et ne compte pas m’arrêter là !


Blaise De Saint Phalle, scolarisé au lycée de 2006 à 2009

« Si je n’ai passé que trois années au Lycée Perceval, toute ma scolarité a été marquée par la pédagogie Steiner-Waldorf. En effet, je suis un « steinerien » depuis le jardin d’enfant, un statut que je revendique aujourd’hui avec une certaine fierté. Je peux affirmer que l’école Steiner m’a donné de nombreux atouts, notamment dans les domaines artistiques – grâce aux travaux manuels, aux pièces de théâtre ou encore au chef-d’oeuvre , et que mon passage de l’école de Verrières-le-Buisson au Lycée à Perceval a été important dans mon développement personnel. J’appréciais particulièrement le français depuis le collège, mais sans véritablement m’y impliquer, et c’est dans mes années de lycée que cet intérêt pour la matière s’est métamorphosé en véritable passion pour la littérature. Cette passion révélée – avant tout à moi-même – m’a permis d’obtenir un bon bac L en 2009, qui m’a ouvert les portes de la classe préparatoire du Lycée Lakanal, à Sceaux. Alors qu’on aurait pu attendre un choc dans le passage de la pédagogie Waldorf à la classe préparatoire, j’ai au contraire pris beaucoup de plaisir à découvrir de nouveaux sujets par le travail intense de la classe préparatoire. J’ai effleuré l’admissibilité au concours de l’Ecole Normale de Lyon, et je suis désormais en double master (de Littérature et de Philosophie) à la Sorbonne. J’ai pris conscience de l’importance qu’a pris la pédagogie Steiner dans ma construction : je crois pouvoir dire qu’elle m’a offert une certaine ouverture d’esprit et a grandement influencé ma vision du monde. J’ai pu constater que je possédais un regard critique déjà aiguisé lors de mon entrée en classe préparatoire, lequel m’a permis de relativiser le rythme soutenu et l’enjeu du concours. Ainsi, l’école Steiner fait pleinement partie de mon bagage : je ne cherche plus désormais à cacher ni mon immense écharpe tricotée à l’âge de 6 ans, ni même mon oeuf en bois légèrement difforme, ils symbolisent au contraire une singularité à laquelle je suis très attaché. »

 

Adrien Strasburger, élève de la 10ème à la 12ème classe:

« J’ai découvert Perceval à partir de la 10e classe (seconde) en Septembre 2007. Ces années passées dans cette école restent les meilleurs souvenirs de ma scolarité, aussi bien à travers les rencontres que j’ai faites que par l’enseignement enseigné. Celui-ci m ‘a permis de prendre confiance en moi et de découvrir qu’apprendre peut-être autre chose que ce que je considérais comme « une corvée ». J’ai eu la possibilité d’effectuer des séjours linguistiques à l’étranger qui m’ont permis d’acquérir une aisance en anglais et en espagnol mais aussi de rencontrer des gens de nationalités différentes et découvrir ainsi leurs cultures. La pièce de théâtre de 11emé (Marat Sade) a été un tournant dans mon aboutissement personnel. C’est à ce moment là que j’ai réellement pris conscience que l’on pouvait travailler autrement que derrière un bureau. Suite a l’obtention du baccalauréat ES, j’ai intégré la classe préparatoire de l’école 3is ( institut international de l’image et du son) d’Elancourt. Le responsable de la sélection des élèves connaissait bien la pédagogie Steiner et je dois avouer que ce fut un atout considérable.
Nous avons discuté des stages effectués pendant ma scolarité (agricole, topographie, social, théâtre…) il a particulièrement apprécié la vision du réel que j’ai acquise. Depuis, j’ai revu de nombreux films appartenant à l’histoire du cinéma, découverts à Perceval. Dans ce cadre scolaire, il m’a été permis de réaliser mon premier film photographique et de co-réaliser un court métrage. Le tronc commun de cette école permet de découvrir la plupart des métiers du cinéma. Je me spécialiserai l’année prochaine ( milieu de la 2ème année ) et le choix de spécialisation est vaste ( image, son, production, réalisation, assistant réalisation, montage ou même spectacle vivant ou journalisme). Je pense plutôt m’orienter vers les métiers de l’image ou du montage pour mon plus grand plaisir. »


Laetitia Forget (2009-2012):

« Après avoir passé mes trois années de lycée à Perceval, j’ai commencé un DUT Techniques de commercialisation en contrat d’apprentissage à l’IUT de Paris Descartes. Je suis aujourd’hui en deuxième année et je prévois d’effectuer une troisième année dans le prolongement de mon cursus en Espagne l’année prochaine, après l’obtention de mon diplôme. Perceval m’a permis durant ces trois années d’apprendre à donner le meilleur de moi-même dans chaque projet dans lequel je me suis fixée. J’ai appris également à adopter une attitude professionnelle et responsable vis à vis du groupe et de moi-même. C’est une école qui m’a permis de faire des erreurs et de sortir grandie de celles-ci. Je me rends compte aujourd’hui que Perceval m’a fait mûrir et m’a donné les clés qui permettent, une fois sortie, de faire des choix et de se donner les moyens d’atteindre ses objectifs. C’est une école de la vie qui nous rend responsable de nous-même. »

 

Estelle Douchet, élève de la 9ème à la 12éme classe:

« Je me nomme Estelle Douchet, je suis une ancienne élève de Perceval. J’écris ces quelques mots pour témoigner et expliquer mon parcours scolaire.

Actuellement, Je suis élève à l ‘Ecole Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d’Art  (ENSAAMA) Je prépare un BTS Design de mode textile Environnement option Textile Matériaux Surface. Et  c’est grâce à mes année s de lycée e àPerceval que j’ai pu trouver ma voie.
Après mon bac ES J’ai postulé pour une mise à niveau en Arts appliqués ( MANAA) à Olivier de Serres

Aujourd’hui je m’épanouis à travers ma formation, je m’amuse mais il est vrai que c’est beaucoup de travail, il faut être passionné et motivé.

 Ma scolarité se résume à une série de projets à réaliser, créations de motfs, étude de nouveaux matériaux, expérimentation textile, étude des couleurs, des tissus , recherches personnelles, sérigraphie , dessin… Je suis donc àl’affût des tendances de la mode et cours après les positions de Paris.

Bien sûr, il y a aussi les matières d’enseignement général comme la physique , l’anglais le français … mais plus de maths! Je ne chôme pas mais j’aime le travail proposé. C’est un investissement à 100%.

Perceval a été un tremplin pour l’accès à mon école,et Olivier de Serres me donne l’enseignement que je recherchais.

Il est important d’être tenace et de ne pas oublier de s’amuser.

ALUMNI WALDORF

Pour découvrir ce que sont devenus les anciens élèves des écoles Waldorf dans le monde…

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